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Première Rencontre SPK : un avant-goût

La première Rencontre SPK sur les nomades numériques approche à grands pas! En complément de notre article sur la conciliation voyage/travail avec Snipcart, nous avons questionné les quatre invités qui ouvriront la discussion le 25 mai prochain sur leurs expériences pour vous donner un avant-goût de l’événement.

Émilie Bergeron

« Être nomade numérique, pour moi, c'est saisir les opportunités lorsqu'elles se pointent : dire oui à tout, surtout lorsque c'est une expérience de voyage! C'est travailler de son portable, et ce, n'importe où. »

Émilie Bergeron, designer graphique, a choisi d’adopter le nomadisme numérique parce que c'est un style de vie qui lui permet de se sentir libre. « Je ne me prive pas de partir à l'étranger à cause de mon travail : je l'amène avec moi ». Elle aime goûter à la culture de travail d'autres pays, que ce soit dans des cafés d'étudiants, de freelancers ou dans les espaces de coworking à l'étranger. Émilie aime voir comment, mais aussi sur quoi les gens travaillent ailleurs dans le monde.

C’est en Europe de l’Est qu'elle a entamé son aventure. Depuis, elle a parcouru plusieurs pays tels que la Hongrie, la République Tchèque et la France. L’un de ses coups de coeur est une chouette boutique dans le centre de Budapest où l’on retrouve des imprimés d'artistes locaux, des vêtements et des objets artisanaux. Le concept combine café et atelier de sérigraphie. « Je m'y suis installé pour travailler pendant quelques jours et à la fin de mon séjour, je me suis fait inviter dans l'atelier pour créer mes propres sérigraphies. Ça été une expérience inspirante et enrichissante de travailler côte-à-côte avec des artistes locaux, qui ne parlaient pas du tout anglais d'ailleurs, mais avec qui j'ai eu beaucoup de plaisir à apprendre sur le design qui diffère dans nos pays respectifs », explique-t-elle.

Maxime Laboissonnière

« Être nomade numérique m’a permis de voir des choses que je n’aurais JAMAIS vu à la maison. »

Maxime Laboissonnière, développeur chez Snipcart, revient tout juste d’un périple de quatre mois en Asie. Son amour pour les voyages, le fait que son collègue François l'expérimentait au même moment et sa lassitude du quotidien à Québec, voilà ce qui l’a poussé à se lancer.

Ses coups de coeur sont partagés entre Bali, plus précisément Canggu, et ses vacances au Japon. Canggu, pour le focus qu’il a réussi à y trouver grâce aux gens qui travaillaient autour de lui, pour l’ambiance relaxante de cette ville plus isolée et pour son mode de vie (allô les scooters et les apaisantes rizières!). Ses vacances au Japon resteront aussi mémorables parce que sa famille est venue le rejoindre. Ensemble, ils ont pris goût à découvrir la culture fascinante de ce pays, sa délicieuse nourriture et ses habitants.

Charles Mclaughlin Piché

« Être nomade numérique, c’est ne pas avoir de résidence fixe, voyager et travailler en ligne. C’est faire partie d'un mouvement de personnes qui expérimentent un mode de vie différent du statu quo. »

Même si Charles McLaughlin Piché, fondateur de SEOCharles, a désormais un domicile fixe et qu’il voyage moins, il a initialement décidé d’expérimenter ce mode de vie pendant quatre ans afin de sortir de sa zone de confort et de la routine. Parmi toutes les expériences qu’il a vécues, traverser le Vietnam en cinq semaines avec la moto qu’il avait acheté à Hanoi demeure son coup de coeur. Il a d’ailleurs été une grande inspiration pour les gars de Snipcart, pour qui le nomadisme numérique fait maintenant partie intégrante de leur culture d’entreprise.

Manon Gruaz

« Être nomade numérique permet d’être libre tout en faisant ce qu’on aime le plus, en s’accomplissant personnellement et professionnellement. »

Manon Gruaz, designer graphique chez Arcbees, est passionnée de son métier. Étant assoiffée de découverte, elle ne se sent pas attachée à un lieu et insiste plutôt sur le fait que son coeur est sa maison. « Comment être inspirée devant un écran? Comment savoir qui on est en regardant les autres vivre sur Facebook ou Instagram? Comment imaginer des projets sans observer les vrais gens dans la vraie vie? » C’est cette remise en question qui lui a permis de faire le grand saut. Au cours de son périple de quatre mois, elle a parcouru plusieurs endroits tels que l’Islande, Rome et Berlin. Un coup coeur? Avoir comme bureau un bateau de croisière entre Helsinki et Tallinn. « Travailler dans ces conditions... C’est assez magique », affirme-t-elle.

Manon explique qu’elle a choisi ce tatouage davantage pour marquer un point tournant dans sa vie que pour illustrer l’Islande ou son amour des voyages. « L’Islande, c’est là où j’ai découvert que j’étais libre et que je pouvais devenir qui je voulais. Et c’est là que tout a commencé. Je ne veux pas l’oublier. J’ai le coeur d’une voyageuse depuis petite et ma liberté est ce que j’ai de plus précieux. »

En espérant que cet article aura piqué votre curiosité et vous aura donné envie d’en savoir plus sur nos voyageurs et tous les participants que nous aurons le plaisir de découvrir, nous vous invitons à réserver votre place à la soirée du 25 mai prochain!